Dispositif d’Appui à la coordination
Le Délégué de l’Assurance Maladie est un des interlocuteurs privilégiés des professionnels et des établissements de santé. Son rôle est de favoriser la maîtrise médicalisée des dépenses par le partage d’informations utiles et l’accompagnement de leur application.
Dossier communicant en cancérologie
Dossier de Consultation des Entreprises
Dénomination Commune Internationale
Délégation Départementale de l’Agence Régionale de Santé
Directeur des Etablissements Sanitaires, Sociaux et Médico-Sociaux
Direction de la coordination de la gestion du risque
Direction générale de la cohésion sociale
Direction Générale de l’Offre de Soins
Direction Générale de la Santé
Digital Imaging and Communications in Medicine / Protocole d’échange d’images médicales
Disponibilité, Intégrité, Confidentialité, Preuve (cette dernière est parfois remplacée par la Traçabilité : on parle ainsi de DICT).
Département d’information Médicale
Dossier de liaison d’urgence
Dispositifs médicaux
Dispositif Médicaux Implantables
La Durée Maximale d’Interruption Admissible (DMIA) constitue le temps maximal acceptable durant lequel une ressource (généralement informatique) peut ne pas être fonctionnelle après une interruption majeure de service. La DMIA est considérée en conjonction avec la Perte de données maximale admissible/tolérable (PMDT) qui quantifie la capacité de reprise sur sauvegarde de la ressource. L’ensemble permet de déterminer le temps total d’interruption d’une ressource après un incident majeur. Ce délai d’interruption de service se décompose en : – Délai de détection de l’incident ; – Délai de décision du passage en secours (s’il n’est pas automatique) – Délai de mise en œuvre des procédures de secours (aiguillage réseau, restauration des données…) – Délai de contrôle + relance de l’application La somme de ces délais doit en théorie être inférieure au PMDT.
Dossier médical partagé
Durée moyenne de séjour
Délégation ministérielle au Numérique en Santé
Le règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD), qui est entré en application le 25 mai 2018, procède à une définition large des données de santé. Les données à caractère personnel concernant la santé sont les données relatives à la santé physique ou mentale, passée, présente ou future, d’une personne physique (y compris la prestation de services de soins de santé) qui révèlent des informations sur l’état de santé de cette personne.
Une donnée personnelle est toute information se rapportant à une personne physique identifiée ou identifiable
Les données sensibles forment une catégorie particulière des données personnelles.
Ce sont des informations qui révèlent la prétendue origine raciale ou ethnique, les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ou l’appartenance syndicale, ainsi que le traitement des données génétiques, des données biométriques aux fins d’identifier une personne physique de manière unique, des données concernant la santé ou des données concernant la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle d’une personne physique.
Direction de l’Offre de Soins et de l’Autonomie de l’Agence Régionale de Santé
Article 97 de la Loi de modernisation de notre système de santé complétant l’article L. 1111-23 du code de la santé publique. Afin de favoriser la coordination, la qualité, la continuité des soins et la sécurité de la dispensation des médicaments, produits et objets définis à l’article L. 4211-1, il est créé, pour chaque bénéficiaire de l’assurance maladie, avec son consentement, un dossier pharmaceutique. Sauf opposition du patient quant à l’accès du pharmacien à son dossier pharmaceutique et à l’alimentation de celui-ci, tout pharmacien d’officine est tenu d’alimenter le dossier pharmaceutique à l’occasion de la dispensation. Dans les mêmes conditions, les pharmaciens exerçant dans une pharmacie à usage intérieur peuvent consulter et alimenter ce dossier. Les informations de ce dossier utiles à la coordination des soins sont reportées dans le dossier médical personnel dans les conditions prévues à l’article L. 1111-15. Sauf opposition du patient dument informé, le médecin qui le prend en charge au sein d’un établissement de santé peut consulter son dossier pharmaceutique dans les conditions mentionnées au deuxième alinéa.
Dossier Pharmaceutique. cf. définition
Dossier Patient Informatisé
Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
Dossier de Régulation Médicale
Directeur, Responsable Système d’Information
Directeur de soins
Direction des systèmes d’information
Direction des systèmes d’information et de l’organisation
Dispositif de Soins Partagés en Psychiatrie
Délégation à la Stratégie des Systèmes d’Information de Santé
Dossier unique d’admission
Le Dossier Usager Informatisé centralise l’ensemble des informations qui concernent la personne âgée ou handicapée et son parcours de santé et de vie. Ce dossier unique comprend un volet administratif, un volet médical et un volet lié à l’accompagnement de la personne. Le dossier usager informatisé est un outil de suivi et de partage d’informations entre les professionnels (médicaux, paramédicaux, médico-sociaux) mais aussi avec ses accompagnants (familles, aidants).
Le secteur est riche en acronymes et on peut facilement être perdu ! Santé numérique, e-santé, santé connectée, santé mobile, télésanté, IoT, SONS, MES, GRADeS, MSS, MIE,… Qu’est-ce que ça veut dire ? Consultez le glossaire pour comprendre les mots et les acronymes utilisés.
La e-santé et la santé numérique pour l’OMS
Il existe plusieurs définitions de la e-santé, l’important étant qu’il s’agit de l’utilisation des nouvelles technologies dans le domaine de la santé, au service des professionnels et des usagers.
Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’e-santé se définit comme « les services du numérique au service du bien-être de la personne », avec « l’utilisation des outils de production, de transmission, de gestion et de partage d’informations numérisées au bénéfice des pratiques tant médicales que médico-sociales ». La définition par l’OMS de la santé numérique est plus large. C’est » le domaine des connaissances et des pratiques associées au développement et à l’utilisation des technologies numériques pour améliorer la santé. La santé numérique élargit le concept de cybersanté pour inclure les consommateurs numériques, avec éventail plus large d’appareils intelligents et de matériels connectés. Il englobe également d’autres utilisations des technologies numériques pour la santé, comme l’Internet des objets, l’intelligence artificielle, les mégadonnées et la robotique ».
La santé et les soins numériques pour l’Union Européenne
La santé et les soins numériques désignent les outils et les services qui utilisent les technologies de l’information et de la communication (TIC) pour améliorer la prévention, le diagnostic, le traitement, la surveillance et la gestion de problèmes liés à la santé et gérer les modes de vie ayant une incidence sur la santé. La santé et les soins numériques sont innovants et peuvent améliorer l’accès aux soins et leur qualité et renforcer l’efficacité globale du secteur de la santé.
Ce que recouvre la santé numérique
La notion de santé numérique inclut tout un ensemble de domaines dont :
- les systèmes d’information pour les professionnels de santé et les hôpitaux
- les dossiers de santé électroniques et les normes qui sous-tendent l’échange de données ;
- les applications mobiles de santé pour le suivi et la prévention (ou m-santé) ;
- la prescription électronique
- les portails de santé publique qui garantissent un accès transparent aux dossiers de santé des individus et à leurs contacts avec le système de santé ;
- la télémédecine et les services associés (téléconsultation, téléexpertise, télésoin, télésurveillance…)
- la prestation de soins intégrés ;
- les outils d’aide à la décision clinique dans les soins primaires ;
- la robotique ;
- la médecine personnalisée ;
- les nanotechnologies ;
- l’intelligence artificielle…